RDC : Proxénétisme et prostitution sur les réseaux sociaux, des révélations enflamment la twittosphère congolaise

Dans un thread publié sur un compte anonyme sur twitter en date du 13 février 2022 qui peut être attribué à une jeune femme semblablement. Elle décrit probablement la face cachée de Kinshasa avec des réseaux des proxénètes et prostitutions que sont parfois victimes des jeunes femmes de la capitale dont la plupart sont encore étudiantes. Voici une partie de ce qu’on peut lire sur le fameux thread qui fait le Buzz sur la twittosphère congolaise.
Comme il faut adoucir la chose, a Kinshasa,cette forme de kindumba huppé s’appel deal. Les filles sont les dealeuses.
Un terme plus classe que ndumba ou tshel. Autant d’argent en apparence facile suscite un engouement des filles qui veulent ttes se brancher sur le réseau. 15/t — Molakisi Nationale 👸🏿 (@Hamouly_) February 13, 2022
Aujourd’hui,elles passent par des faux profils Instagram ou Facebook. Les courageuse on des “codes” dans leur façon de publier et de s’habiller pour se faire remarquer. Les plus courageuses encore l’assume ouvertement.
13/t — Molakisi Nationale 👸🏿 (@Hamouly_) February 13, 2022
1. Le ciblage.
Il se fait principalement sur Instagram,Tik tok et Snap. On choisi une fille jolie,pas très suivi sur ses réseaux(moins de 2000 abonnés), publiant souvent et n’ayant pas froid au yeux de s’afficher en tenu très sexy et qui follow les influenceuses. 20/t — Molakisi Nationale 👸🏿 (@Hamouly_) February 13, 2022
Difficile decertifier à100%l’histoire et les révélations publiées par le compte, mais les réactions et engouement suscitées par les internautes congolais n‘ont pas laissé indifférente notre rédaction pour parler de ce phénomène qui se vit sur les réseaux sociaux à Kinshasa.
Ilfautrappeler que sur les réseauxsociaux(TikTok,WhatsApp, Facebook, Instagram,Snapchat) ontrouve maintenant des proxénètes, des trafiquants, des pédophiles pour attirer et recruter leurs proies, problème quasi reconnu mondialement dont la République démocratique du Congo n’y échappe pas.
À savoir qu’enRépublique Démocratique du Congo, exploitation, les abus et le harcèlement sexuel (EAHS)et la violence basée sur le genre(VBG) sur les réseaux sociaux sont devenues monnaie courante au vu et su des autorités qui ne disposent pas encore des moyens appropriés pour lutter contre ce phénomène qui prend place dans la société.
Redaction/L’INTERVIEW.CD