Après la désactivation des écoles fonctionnant avec de faux arrêtés, Willy Bakonga, ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique a dans un communiqué signé jeudi 01 avril dernier, annoncé la création d’une commission ad hoc pour examiner, au cas par cas la situation de ces établissements.
“Il s’agit des écoles datant de l’époque coloniale et celles créées immédiatement après l’indépendance, éligibles à la régularisation collective, c’est à dire les écoles datant de la période d’avant la procédure de création par voie d’arrêté”, lit-on.
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En outre, les écoles fonctionnant avec de faux arrêtés mais qui réunissent les conditions requises de viabilité, seront soumises à une régulation de leur situation administrative.
Notons que cette désactivation des écoles fonctionnant avec de faux arrêtés est intervenue après l’enquête de l’IGF au Service de Contrôle et de Paie des Enseignants (SECOPE).
J.NK/L’INTERVIEW.CD
cet article a été publié le 2 avril 2021 9h39
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