Après la désactivation des écoles fonctionnant avec de faux arrêtés, Willy Bakonga, ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et Technique a dans un communiqué signé jeudi 01 avril dernier, annoncé la création d’une commission ad hoc pour examiner, au cas par cas la situation de ces établissements.
“Il s’agit des écoles datant de l’époque coloniale et celles créées immédiatement après l’indépendance, éligibles à la régularisation collective, c’est à dire les écoles datant de la période d’avant la procédure de création par voie d’arrêté”, lit-on.
Lire aussi
En outre, les écoles fonctionnant avec de faux arrêtés mais qui réunissent les conditions requises de viabilité, seront soumises à une régulation de leur situation administrative.
Notons que cette désactivation des écoles fonctionnant avec de faux arrêtés est intervenue après l’enquête de l’IGF au Service de Contrôle et de Paie des Enseignants (SECOPE).
J.NK/L’INTERVIEW.CD
cet article a été publié le 2 avril 2021 9h39
a ville de Kalemie, située dans la province de Tanganyika en République Démocratique du Congo, fait face à une grave…
Dans un contexte de violence croissante à Goma, dans la province du Nord-Kivu, deux agents de la Police nationale congolaise…
Le colonel magistrat Kabeya-Hanu-Ben, premier président de la cour militaire du Nord-Kivu, a lancé un avertissement sévère contre l'indiscipline des…