Seth Kikuni tacle Tshisekedi : “Avec une popularité qui est passée de 14% à 5,9%, c’est normal qu’on cherche à contrôler la CENI après la cour constitutionnelle “

La situation reste tendue en République Démocratique du Congo au tour de la désignation des animateurs de la commission électorale nationale indépendante dont le processus est au cours.
Le candidat à la présidentielle de 2018 Seth Kikuni monte au créneau et dénonce le forcing du camp de Félix Tshisekedi qui tente de contrôler la centrale électorale après avoir eu le contrôle de la cour constitutionnelle.
Selon cet ancien candidat indépendant, cette situation risque de mettre les catastrophes naturelles, séisme, turbulences au rendez-vous avec des manifestations.
“Avec une popularité qui est passée de 14 % à 5,9%, c’est normal qu’on cherche à contrôler la CENI après la cour constitutionnelle. S’ils commentent cette erreur, turbulence, séisme, canicule, pluie torrentielle, bref toutes les catastrophes naturelles seront au rendez-vous”, a dit Seth Kikuni.
La désignation d’un nouveau président de la CENI divise les confessions religieuses et la classe politique, car 6 confessions religieuses ont porter leurs choix à Dénis Kadima qui est soupçonné d’être proche de Félix Tshisekedi.
Les catholiques et protestants s’opposent au choix de leurs collègues des autres confessions qui sont d’être reçus en ce moment pour la deuxième fois par Mboso Nkodia afin de déposer le PV de désignation du remplaçant de Corneille Nangaa.
JM-Heaven/L’INTERVIEW.CD