Dans une interview exclusive accordée dimanche 19 juillet à Soft International, Corneille Nangaa, président sortant de la CENI a déclaré qu’il assume tout et laisse un Président qui a succédé à un autre, une Assemblée nationale renouvelée, un Sénat et des Assemblées provinciales restées douze ans.
“J’assume tout au moment de partir. Je laisse un Président de la République qui a succédé à un autre, une Assemblée nationale renouvelée, un Sénat et des Assemblées provinciales restés douze ans sur place soit sept ans hors mandat mais renouvelés et vingt-six gouvernements provinciaux mis en place “, a-t-il dit.
Et d’enrichir : “Tout cela sans la moindre coup de balle et la proclamation des résultats a lieu à notre siège, non à bord d’un char des combats. On n’avait pas vécu ça depuis 1960 “.
Les élections de décembre 2018 avaient été organisées avec la machine à voter et cette dernière avait été contesté avant d’être approuvée.
Hormi la contestation de Martin Fayulu qui réclamait la vérité des urnes, la communauté Internationale ainsi que d’autres membres de la société civile avaient salué ces élections dont Félix Tshisekedi était sorti vainqueur.
J.NK/L’INTERVIEW.CD
cet article a été publié le 20 juillet 2020 12h22
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