Le premier vice-président de la société civile dans la province du Nord-Kivu s’inquiète de la poursuite des massacres des civils pendant la période de l’État de siège.
Dans un message relayé ce vendredi 16 juillet, Edgar Mateso estime que les autorités militaires ont été nommées pour faire ce que les autorités civiles n’ont pas pu faire.
Il propose que les charges des gouverneurs, administrateurs des territoires, maires et bourgmestres soient circonscrites pour que les compétences soient mises en place et ainsi mettre fin à l’insécurité dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri.
“Le Parlement devrait voter une loi aux attributions spécifiques des autorités militaires et policières. L’État de siège étant une administration atypique et particulière, il fallait circonscrire les attributions des gouverneurs de provinces, des administrateurs des territoires, des maires et des bourgmestres”, a-t-il dit.
Dans l’Est du pays, wes rebelles restent actifs dans les provinces précitées même si l’armée continuent à les traquer. Toutefois, des redditions s’observent également de l’autre côté des groupes armés prêts à abandonner les armes.
Rédaction/L’INTERVIEW.CD
cet article a été publié le 16 juillet 2021 9h01
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