Sud-Kivu : L’Asbl «Tous Unis pour le Développement» condamne la campagne de diabolisation contre cette structure et l’autorité provinciale
Dans le souci d’éclairer l’opinion publique sur les prétendues accusations couchées dans une plainte déposée au procureur Général près la Cour d’Appel de Bukavu contre certains «proches collaborateurs» du gouverneur du Sud-Kivu Théo Ngwabidje Kasi, mardi 19 janvier 2021, la coordinatrice de l’association sans but lucratif «Tous Unis pour le Développement du Sud-Kivu» TUD en sigle a condamné avec énergie cette campagne qui vise à Salir l’image de l’autorité provinciale et de sa structure, qui travaille pour le développement de la province.
Dans sa version des faits nous livrée ce jeudi 21 janvier 2021, Mme Mimi Angalikiana précise que tous les faits portés contre sa structure constituent des «accusations gratuites» et les rejette en bloc.
Pour elle, Désiré Barume et Didier Bashige nommément citées dans cette plainte comme étant des membres de l’association «TUD» ? ne l’ont jamais été,
Les personnes précitées sont en effet reprochées par les plaignants pour destruction méchante pour avoir ravi et déchiré les copies de la pétition signée contre le gouverneur, extorsion et association des malfaiteurs, pour des faits commis en date du 7 janvier dernier.
La coordonnatrice de TUD asbl précise qu’il s’agit «d’une foule soutenant les actions du gouverneur mécontente de la démarche des jeunes qui veulent déstabiliser le gouverneur» qui les auraient contrecarrés et la police était intervenue pour remettre de l’ordre.
Pour Mimi Angalikiana, l’heure n’est pas à s’attaquer aux autorités provinciales mais plutôt au travail en union afin de relever les défis qui bloquent le développement du Sud-Kivu.
Ainsi, elle appelle la population de Bukavu et du Sud-Kivu en générale, de continuer à appuyer le gouverneur Théo Ngwabidje, qui «reste engagé» à répondre aux besoins de la population et multiplie les stratégies pour booster la province de l’avant selon son programme de gouvernance, et rassure qu’avant son quinquennat la population va vivre les réalités du changement par le travail.
Pascal Digadiga Ngabo/L’INTERVIEW.CD
